Soirée des expériences visuelles et sonores Vendredi 6 juin 2025 | 19h – 00h
MJC Lillebonne, 14 rue du cheval blanc 54000 Nancy
Entrée libre
GRAVE propose un nouveau rendez-vous autour des performances audiovisuelles
dans le cadre de la soirée de lancement des ateliers ouverts 2025. Film pour paupières closes, rencontres inédites, sons spatialisés, improvisations audiovisuelles… Cette soirée propose une immersion à travers trois expériences où visuel et sonore se répondent et se confondent.
Gravissime une proposition de GRAVE pour la soirée de lancement des ateliers ouverts 2025
Programme
LABO (improvisation audiovisuelle pour son spacialisé)
Lucile Pacheco et Théo Strauss
GRAVE aime expérimenter. Pour cette édition de Gravissime, deux artistes – l’une à la vidéo, l’autre à l’audio – se rencontrent pour développer une improvisation audiovisuelle autour d’un dispositif de son spatialisé et une scénographie vidéo créée spécialement pour l’occasion. Hypnose et réminiscence sont attendues.
Phosphène (film pour paupières closes et son spatialisé)
Armand Lesecq
Phosphène est un film pour paupières closes et son spatial. Son dispositif consiste en une vidéo-projection sur les yeux fermés du public, d’un système sonore multicanal et de haut-parleurs hyperdirectifs motorisés. Inspiré par les champs du rêves, des neurosciences et de l’hypnose, le projet vise à explorer une variété d’espaces intérieurs. C’est une tentative d’accès à ces territoires que nous pourrions avoir tendance à délaisser ou nier, entre la surface des sens et notre interprétation du réel, dans les profondeurs de l’imagination, des illusions et doutes.
JVC (live zozovisuel)
Jeannie Brie, Clément Marchand et Victor Remy
JVC est une performance improvisée où vidéo en temps réel rencontre musique électro-noise. Jeannie manipule des images en temps réel créées l’instant d’avant. Victor expérimente avec ses drums machines et synthés aux accents free-hypnotiques. Clément explore ses machines électroniques aux textures sonores intenses et évolutives. Ensemble, ils tordent et déforment le réel pour l’emmener vers l’abstraction.
